Les associations soussignées disent, par conséquent :
1) Non à la remise en question du Parc National des Calanques par des constructions nouvelles avec un fort impact visuel et par des destructions sur la végétation préjudiciables à son existence ;
2) Non au précédent que constituerait le maintien de ce permis, contre l’avis de l’Architecte des Bâtiments de France, pour le Parc National des Calanques et sa zone d’adhésion ;
3) Non à la sur fréquentation (qui passerait de 4 000 à 7 000 personnes) d’un site fragile et dangereux en cas d’incendie (car doté d’un unique accès) ;
4) Non aux mesures faussement compensatoires d’une dalle de béton agrémentée de
« trèfle fraise », de « plantain corne de cerf » ou de « verveine officinale sauvage » : il s’agit d’une végétalisation artificielle sous perfusion, pas d‘un réel maintien de la biodiversité ;
5) Oui à la revitalisation des centres villes désertifiés et paupérisés par l’étalement urbain ;
En tant que défenseurs du Patrimoine naturel, nous dénonçons ainsi la supercherie de ce projet écocide – prétendant être « éco responsable » – et exigeons une étude d’impact environnemental indépendante. L’actuel permis de construire doit être retiré.
Ci-dessous : La Provence du 22 janvier 2018
Ci-dessous : la Marseillaise du 2 janvier 2018
1) Non à la remise en question du Parc National des Calanques par des constructions nouvelles avec un fort impact visuel et par des destructions sur la végétation préjudiciables à son existence ;
2) Non au précédent que constituerait le maintien de ce permis, contre l’avis de l’Architecte des Bâtiments de France, pour le Parc National des Calanques et sa zone d’adhésion ;
3) Non à la sur fréquentation (qui passerait de 4 000 à 7 000 personnes) d’un site fragile et dangereux en cas d’incendie (car doté d’un unique accès) ;
4) Non aux mesures faussement compensatoires d’une dalle de béton agrémentée de
« trèfle fraise », de « plantain corne de cerf » ou de « verveine officinale sauvage » : il s’agit d’une végétalisation artificielle sous perfusion, pas d‘un réel maintien de la biodiversité ;
5) Oui à la revitalisation des centres villes désertifiés et paupérisés par l’étalement urbain ;
En tant que défenseurs du Patrimoine naturel, nous dénonçons ainsi la supercherie de ce projet écocide – prétendant être « éco responsable » – et exigeons une étude d’impact environnemental indépendante. L’actuel permis de construire doit être retiré.
Ci-dessous : La Provence du 22 janvier 2018
Ci-dessous : la Marseillaise du 2 janvier 2018